Les familles des personnes tuées témoignent au Sénat, le 23 août 2016 Elu en mai 2016, Rodrigo Duterte, surnommé «le punisseur», a promis pendant sa campagne d'éradiquer le trafic de drogue, de tuer 100.000 criminels pour mettre fin en quelques mois à la criminalité et au trafic de drogue. Mais l'ONU et les Etats-Unis, principal allié des Philippines et organisations de défense des droits de l’Homme s’inquiètent du nombre croissant de meurtres. Ils ont prévenu les dirigeants philippins qu’ils pourraient être tenus responsables de la situation. Suite à ces accusations, le président Rodrigo Duterte a menacé de quitter l’ONU. Des propos que plusieurs responsables philippins ont cherché à relativiser.